Résultats en hausse pour DS Automobiles !
Alors que le Groupe PSA cède un peu de terrain lors du premier semestre 2019, DS Automobiles termine la première partie de l’année sur un bilan positif !
Avec une hausse des ventes de 1,5% au premier semestre 2019 (dont 15 % sur le seul second trimestre), DS a réussi son début d’année, marqué notamment par le lancement de DS 3 CROSSBACK sur certains marchés. Il s’est immatriculé 32 217 DS.
« Cette croissance est vraiment robuste puisqu’elle est basée sur la mise en place de notre plan stratégique », a déclaré Yves Bonnefont, directeur général de DS, lors d’une rencontre organisée au DS WORLD PARIS. « C’est un semestre important pour DS car on est en configuration nouvelle. On a basculé notre réseau avec l’émergence d’un réseau dédié DS à l’été dernier et on est en train de lancer un véhicule par an. La nouvelle génération de modèles, DS 7 CROSSBACK et DS 3 CROSSBACK, représente 84 % du volume, contre 41 % sur le premier semestre 2018. »
Comme pour le reste du Groupe PSA, DS reste est aussi dépendant du marché européen qui pèse 89 % de ses ventes. Sans surprise, la France est le premier marché (13 199 unités), devant l’Espagne (2 263 unités), et l’Italie qui a quasiment doublé ses ventes en un an (2 045 immatriculations). Le duo Belgique / Luxembourg affiche 1 500 immatriculations et des pays comme le Danemark, les Pays-Bas ou encore la Pologne connaissent une belle dynamique.
Dans le reste du monde, les volumes sont plus faibles. La Chine n’a vu s’écouler que 1 720 DS sur six mois… Mais un plan de grande ampleur est en préparation.
Il passera certainement par l’arrivée des modèles électrifiés : 100 % électrique avec DS 3 CROSSBACK E-TENSE et hybride rechargeable avec DS 7 CROSSBACK E-TENSE 4×4 qui seront les premiers modèles du Groupe PSA disponibles avec ces motorisations.
« Fondamentalement, DS porte les valeurs d’innovation technologique du groupe, comme l’ont montré le système de vision de nuit ou le Connected Pilot. Les commandes de véhicules électrifiés sont ouvertes depuis juin et il est donc trop tôt pour indiquer une tendance, mais nous sommes confiants, car il y a les premières commandes sans véhicule de démonstration et sans essai et les marques d’intérêt sont sensibles », souligne Yves Bonnefont.